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    Le prochain atelier d'écriture aura lieu

    le samedi 23 novembre à 14h30

    chez Béné et Guy

    Avec un temps sur place et une sortie...

     

     

     

     Source: http://www.vaureal.fr/menu-principal/decouvrir-vaureal/peu-dhistoire


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    À propos de l'ouvrage "Illusion financière"

    de Gaël Giraud

     

    L’impasse économique dans laquelle la crise financière a plongé des États désemparés, alimentée par une véritable fascination pour les marchés financiers, occulterait-elle une solution de sortie de crise originale ?

    Depuis 2010, la crise financière des crédits subprimes s’est transformée en une crise des dettes publiques, et tout semble indiquer que le pire est encore devant nous.

    L’impasse dans laquelle les marchés financiers enferment l’économie européenne va jusqu’à remettre en cause les institutions mêmes du vivre-ensemble européen… Y a-t-il d’autres issues que la généralisation des plans d’austérité budgétaire, le paiement des dettes bancaires par les contribuables et la déflation ?

    Dans son ouvrage "Illusion financière", Gaël Giraud met en lumière les illusions qui brouillent le débat public actuel.

    Il montre en particulier que la contrainte énergétique et climatique est l’élément déterminant qui conditionne toute prospérité durable en Europe, et souligne l’exigence de la placer au cœur d’un nouveau projet qui échappe à l’addiction mortifère de notre économie à l’égard d’une finance dérégulée.

    Il explique que la transition écologique est un projet de société capable de sortir l’Europe du piège où l’a précipitée la démesure financière et suggère des pistes pour lever les obstacles financiers à sa mise en œuvre.

     

    Publié en octobre 2012, ce livre a fait l’objet de très nombreux articles de presse soulignant la clarté et l’audace des propos de l’auteur.

    « Un ouvrage en tous points exceptionnel » Jean-Claude Guillebaud (Le Nouvel Observateur)
    « Un modèle de pédagogie pour comprendre la crise » (Le Monde)
    « Un ouvrage fondateur. À lire pour comprendre le monde qui vient » (L’Express)
    « Un petit traité fort édifiant. […] Fort subversif. À lire  » (Europe1)
    « La thèse de ce livre est limpide et suscitera de nombreuses discussions » (Alternatives économiques)

     

    Qui est Gaël Giraud?


    Né en 1970, Gaël Giraud est un économiste français spécialisé en économie mathématique. Il est membre de la Compagnie de Jésus.

    Gaël Giraud intègre le CNRS en 1999 comme chargé de recherches.

    Il est aussi chercheur associé à l’École d'économie de Paris et consultant scientifique. Il enseigne la théorie des jeux et l’économie mathématique à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne, à l’Université Strasbourg I Louis Pasteur et à l’Université de Hanoï, au Vietnam.

    Depuis 2007 il est professeur affilié à ESCP Europe en économie et finance, à l’Université catholique de Louvain-la-Neuve, Belgique, et au Tchad où il a fondé le Centre d’accueil des enfants de la rue de Balimba.

    Gaël Giraud est membre du centre de recherche et d'action sociales, il tient régulièrement une chronique sur l'actualité économique et financière dans la revue Projet.

    Ses travaux portent notamment sur le rôle de la monnaie, des marchés financiers et de leur réglementation dans la prévention des krachs économiques, ainsi que sur les dynamiques économiques hors équilibre. Gaël Giraud, porte un regard original sur l’économie. Il explore et développe les aspects éthiques, voire spirituels, des sciences économiques.

     

    Il a publié :

    - Vingt Propositions pour réformer le capitalisme, édition Garnier-Flammarion, Paris, 2009, sous la direction de Gaël Giraud et Cécile Renouard.

    - La Théorie des Jeux, édition Garnier-Flammarion, Paris, collection Champs-U, 2009 (3e édition)

    - Le facteur 12, Pourquoi il faut plafonner les revenus, Carnets Nord, Paris, 2012, avec Cécile Renouard

    - Illusion financière, Les éditions de l'Atelier, 2013, nouvelle éd. revue et augmentée

     

     

    Entrons plus précisément dans "Illusion financière"...

     

    Gaël Giraud livre dans son dernier ouvrage une analyse fouillée de la crise et propose une voie de sortie : engager la transition écologique. Un projet de société capable, selon lui, de sortir l'Europe du piège où l'a précipitée la démesure financière.

    Gaël Giraud nous engage à placer la question énergétique et climatique au cœur d'un nouveau projet de société qui mette un terme définitif à la dépendance mortifère de nos économies à l'égard de la finance dérégulée.

    Son propos s'articule autour de trois grands axes :

    - Un nouveau projet : la transition écologique

    La crise financière a relégué la question écologique à l'arrière-plan de nos préoccupations. Mais le prix du pétrole et des énergies fossiles, appelés à s'élever dans les années qui viennent, conditionnent la prospérité des pays industrialisés. En outre, les rapports des climatologues sont formels : nous ne réussirons pas à éviter une élévation de la température moyenne sur le globe d'au moins 2 degrés d'ici à la fin du siècle.

    Face à ces deux constats, Gaël Giraud promeut une "autre" manière de penser l'économie, moins énergivore, plus sobre et extraordinairement pourvoyeuse de travail. « La transition écologique est probablement aux décennies à venir ce que fut l'invention de l'imprimerie au XVe siècle ou la révolution industrielle au XVIIIe ». Elle recouvre deux chantiers principaux : la rénovation thermique et la mobilité. Une étude anglaise évalue son coût à 650 milliards d'euros.

    - Où trouver l'argent?

    Les États croulent sous les dettes, les acteurs privés n'ont pas les moyens de financer cette transition. Comment s'y prendre alors ? Le livre offre une solution articulée qui implique que la Banque centrale européenne (BCE), aujourd'hui indépendante, soit replacée sous contrôle démocratique. Qu'elle fasse de cette transition écologique le cœur de son mandat, aujourd'hui réduit au contrôle de l'inflation. Et enfin qu'elle reprenne la main sur la création monétaire aujourd'hui laissée à la libre appréciation ou presque des banques commerciales. La BCE consentirait alors des prêts à long terme destinés à financer des projets précis.

    Gaël Giraud innove en proposant que certains biens comme le travail, la Terre et surtout la liquidité et le crédit, qui sont les deux facettes de la monnaie, soient considérés comme « des biens communs ». Autrement dit qu'ils cessent d'être privatisés par les marchés pour être gérés par la communauté selon des principes de réciprocité et de démocratie.

    - L'Europe des biens communs

    Pour mener un tel projet, la construction européenne doit évoluer. L'économiste propose la création d'une Autorité politique confédérale, rassemblant des députés européens et des députés issus des parlements nationaux, qui aurait en charge la gestion des biens communs monétaires et financiers.

    Enfin, idée plus surprenante, il invite à abandonner l'euro comme « monnaie unique » - qui, pour perdurer, nécessiterait de gros transferts budgétaires entre États du Nord et États du Sud - pour en faire « une monnaie commune ». L'euro serait alors utilisé pour les transactions hors de la zone euro. Mais à l'intérieur de la zone, chaque État retrouverait sa monnaie nationale dont la parité avec l'euro serait négociée chaque année par les responsables politiques, aboutissant très rapidement à la dévaluation de la lire, de la drachme, du franc... par rapport au mark ou au florin.

    Une proposition radicale, mais qui éviterait l'austérité généralisée et réconcilierait ceux qui ont le sentiment que l'Europe se construit sur leur dos.

     

     


     


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  • Soirée sur le thème du post-colonial

    (date et contenu à préciser: pour 2e semestre 2014

    et en lien avec une autre association)

     

     

    source: http://terangaweb.com/wp-content/uploads/2012/06/fran%C3%A7afrique.jpg





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  • Voici quelques films intéressants que nous avons et que nous pouvons faire circuler dans le groupe:

    - The Gatekeepers (שומרי הסף) est un film documentaire franco-israélien réalisé par Dror Moreh en 2012.

     

    Dror Moreh a décidé de réaliser ce film après avoir mesuré l'importance décisive du Shabak (Shin Beth) sur la scène politique israélienne depuis quarante ans. Ces six directeurs à la retraite de la sécurité israélienne évoquent leurs victoires et les échecs passés sans nostalgie. Très critiques vis-à-vis des politiques menées par leurs gouvernements (à l'exception de celui d'Yitzhak Rabin), ils défendent tous un changement radical de politique en Israël : la recherche de la paix et la reconnaissance au plus tôt de l’État palestinien.

    Un excellent documentaire!

     

    - Nucléaire, exception française

    Un documentaire réalisé par Frédéric Biamonti
    Ecrit par Frédéric Biamonti, Samuel Luret et Kenechi Watanebe
    Une coproduction : Morgane & Kami productions, avec la participation de France 3

    Depuis la catastrophe de la centrale japonaise de Fukushima, le nucléaire vit à l'heure des critiques. Pourtant la France  continue de promouvoir le nucléaire. Avec ses 58 réacteurs procurant 74% de l'électricité, ses 410 000 emplois, et un poids économique évalué à 34 milliards d'euros, la filière française est un cas à part. Son développement fait aujourd'hui de la France le pays le plus nucléarisé au monde.
    C'est l'histoire de cette conviction que va raconter ce film. Une obstination qui confine parfois à l'aveuglement, portée par les partisans inconditionnels de l'énergie atomique. Recrutés parmi l'élite des grandes écoles d'ingénieurs, ils font partie du cercle des experts du nucléaire français. Le documentaire se construit à partir des témoignages d'acteurs majeurs, de ministres, de dirigeants d'EDF ou d'Areva mais également d'opposants qui remettent en question le choix quasiment exclusif de l'énergie nucléaire. En faisant également appel aux images d'archives, " Nucléaire, exception française " va soulever le voile sur les abus, les errements, les mensonges qui, d'hier à aujourd'hui, ponctuent l'histoire de ces soixante dernières années.


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